… que je situe au TOP, « au jour d’aujourd’hui » – fin 10/10 –, pour celles & ceux que cela intéresserait.
Petite précision de départ: Il s’agit du résultat d’un amateur… « éclairé », au moins par plus d’un an et demi d’OS Linux, sous de multiples formes – qui a dit que la curiosité était un vilain défaut? Je ne le sais pas, et ne veux pas le savoir…-, ayant débuté sous Ubuntu, comme beaucoup ayant franchi le pas. Ubuntu est rassurant, un bon outil, mais n’est pas l’unique « solution » GNU/Linux, y compris pour les nouveaux arrivants.
De nombreuses autres possibilités existent: GNU/Linux ZevenOS-Neptune 1.9, OS GNU/Linux antiX – M8.5 « Marek Edelman », OS GNU/Linux « MintPPC » – Version 9 (pour PC Apple à processeurs G3/G4) etc.…
Sans même parler de « Austrumi Linux » (al)…
Une simple copie d’écran pour vous montrer où j’en suis? Suivez le guide!
Le nom de « l’heureux élu »? GNU/Linux Pinguy OS
Et pourquoi donc? Certes, sa « philosophie de départ » – prendre le meilleur du côté du libre comme du non-libre (ou inversement…) -, est à l’opposé de celle de Trisquel 4.0 LTS « Taranis » – qui vaut tout autant son « pesant de cacahuettes »! -, ce dernier OS étant strictement basé sur du libre (tout au moins à l’installation, si vous ne rajoutez-pas un ou plusieurs éléments « non-libre(s) »: ce que vous ferez à l’usage forcément, ne serait-ce que par certains codecs…). L’intention est louable, mais, à mon humble avis, par expérience, pas tenable…
Je m’explique: certes le mot « libre » a – à priori -, un charme « ravageur« , mais, pour des raisons de traduction, est, en général (très) mal compris: dans le domaine qui nous intéresse – l’informatique-, il ne signifie pas pécuniairement « gratuit » – certes, il peut l’être aussi, et l’est même en général… -, mais que le code-source du logiciel (ou du codec), est OUVERT, et donc vérifiable/modifiable par « tout un chacun »… Enfin, je veux dire: par un analyste-programmeur. Ce que chacun n’est-pas…
Un OS GNU/Linux étant constitué d’un ensemble de modules, certains étant -comme dans la vie… « civile »? -, « plus égaux que d’autres »… (certains sont « libres » – = code-source disponible! -, et d’autres… « non-libres »).
Sur le plan… justement, « strictement (pseudo-)philosophique »: est-ce vraiment le but, de se créer de nouvelles contraintes, en voulant idéologiquement « se dégager » systèmatiquement de contraintes existentes? Analyse qui n’engage que moi: c’est ne pas avoir compris ce qu’était précisément « le libre »…
Ne me faites-pas dire ce que je n’ai jamais dit: ma position sur le sujet n’interdit aucunement d’être parfaitement vigilant sur le choix des logiciels (en exemple: utiliser « GNUZilla IceCat » au lieu… « d’un certain nombre de ses concurrents », est déjà un bon départ) – on ne sait de toute manière pas ce qu’il y a « sous le capot », et on aurait certainement, dans un certain nombre de cas, de GROSSES SURPRISES (et de tout ordre…), à ce sujet! En particulier dans le cadre d’un ordinateur connecté à un réseau, public ou « privé »… -.
Si le résultat est non-pas de se « débarasser d’un boulet », mais d’en changer, où est l’intérêt, sur un plan strictement pratique? Puis-je être plus clair? Si! Ce serait avoir « une banane dans l’oreille », et… « Au pied! » (cf. à ce sujet cet article: « Coucou, c’est moâââ!… »).
D’où mon choix… Après vraiment « de multiples expériences linuxiennes »…
En effet, l’équipe à la base de GNU/Linux Pinguy OS a décidé de prendre, sans complexe, le meilleur selon elle, où qu’il soit, et… ne « propose » même pas, mais plutôt offre directement – installée dès le départ -, la palette d’outils & logiciels qu’elle considère comme la meilleure placée, à l’usage. Possibilité évidemment, de choisir d’autre logiciels, au format deb (= Debian), ou de les installer – pour les « Cadors » -, via le « Terminal » (« tout le monde descends!… »), au cas où…
Une preuve de pragmatisme de la part de Pinguy OS, tout étant basé – comme en politique -, de toute manière, sur la CONFIANCE…
A ce sujet: je vous conseille FORTEMENT, comme précédemment exprimé, le navigateur » GNUzilla « IceCat » – 3.6.10 –, ainsi que le gestionnaire de courrier Sylpheed – trouvable, en particulier, dans le « Gestionnaire de fichiers » – & le logiciel de sauvegarde « EasyCopy&Backup » v. 0.3…
Même plus besoin de faire le travail de choix des logiciels, préétabli et pertinent – sauf souhait ou besoin spécifique, comme ci-dessus-, pour la plupart des utilisateurs!
La seule chose à connaître? Savoir graver une image « iso » – attention: en tant qu’image…-, sur un CD/DVD, pour installer l’OS sur son PC (DVD pour Pinguy OS, la taille de son image « iso » étant de l’ordre de 1,3 Go, ayant un certain « contenu »…).
Cerise sur le gâteau? Comme la plupart de ses… « concurrents » GNU/Linux, Pinguy OS est gratuit.
Vous l’avez compris: cela correspond parfaitement à « ma philisophie » (si j’en ai une) = PRAG-MA-TISME!
Avant tout…
NOTA: pour ceux qui auraient largement dépassé « le stade de l’apprentissage », un OS GNU/Linux à connaître: Aptosid 2010-02 « Κῆρες ». Selon moi, « le TOP du TOP »…
L’ouvrage « The Linux Command Line » (William E. Shotts, Jr), gratuit (sous forme Pdf), leurs est aussi destiné, afin d’être mieux à même de faire « de la ligne de code au km », autrement dit: le maximum de choses possibles via le Terminal (sans interface…).
Comme quoi, j’essaie d’éviter d’être… « sectaire » (hihi!)
Arnaud
3 avril 2011
Le pragmatisme, ok, je comprends. Mais après votre article manque un peu d’arguments je trouve.
Faut vous faire confiance du coup. En quoi « GNUzilla « IceCat » – 3.6.10 » est-il meilleur que FF ou Opéra & Chrome? Sylpheed meilleur que thunderbird ?
N’est-ce pas ce qui caractérise toute les distributions de réunir ce qu’elles considèrent comme « les meilleurs logiciels à l’usage » ?
Ca ne m’empêchera pas d’aller voir par curiosité cette distribution mais c’est bien parce que je suis curieux.
blogoosphere
5 avril 2011
L’intérêt particulier de IceCat? Opensource, et si l’on avait accès au code source de certains autres navigateurs, on aurait, pour certains, des surprises. Opera me semble cependant le plus intéressant des « non-opensource », à première vue… Cordialement