Dernière « mise au point » concernant les OS GNU/Linux…

Posted on 24 octobre 2010

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… que je situe au TOP, « au jour d’aujourd’hui » – fin 10/10 –, pour celles & ceux que cela intéresserait.

Petite précision de départ: Il s’agit du résultat d’un amateur… « éclairé », au moins par plus d’un an et demi d’OS Linux, sous de multiples formes – qui a dit que la curiosité était un vilain défaut? Je ne le sais pas, et ne veux pas le savoir…-, ayant débuté sous Ubuntu, comme beaucoup ayant franchi le pas. Ubuntu est rassurant, un bon outil, mais n’est pas l’unique « solution » GNU/Linux, y compris pour les nouveaux arrivants.

De nombreuses autres possibilités existent: GNU/Linux ZevenOS-Neptune 1.9, OS GNU/Linux antiX – M8.5 « Marek Edelman », OS GNU/Linux « MintPPC » – Version 9 (pour PC Apple à processeurs G3/G4) etc.

Sans même parler de « Austrumi Linux » (al)

Une simple copie d’écran pour vous montrer où j’en suis? Suivez le guide!

Le nom de « l’heureux élu »? GNU/Linux Pinguy OS

Et pourquoi donc? Certes, sa « philosophie de départ » – prendre le meilleur du côté du libre comme du non-libre (ou inversement…) -, est à l’opposé de celle de Trisquel 4.0 LTS « Taranis » – qui vaut tout autant son « pesant de cacahuettes »! -, ce dernier OS étant strictement basé sur du libre (tout au moins à l’installation, si vous ne rajoutez-pas un ou plusieurs éléments « non-libre(s) »: ce que vous ferez à l’usage forcément, ne serait-ce que par certains codecs…). L’intention est louable, mais, à mon humble avis, par expérience, pas tenable

Je m’explique: certes le mot « libre » a – à priori -, un charme « ravageur« , mais, pour des raisons de traduction, est, en général (très) mal compris: dans le domaine qui nous intéresse – l’informatique-, il ne signifie pas pécuniairement « gratuit » – certes, il peut l’être aussi, et l’est même en général… -, mais que le code-source du logiciel (ou du codec), est OUVERT, et donc vérifiable/modifiable par « tout un chacun »…  Enfin, je veux dire: par un analyste-programmeur. Ce que chacun n’est-pas…

Un OS GNU/Linux étant constitué d’un ensemble de modules, certains étant -comme dans la vie… « civile »? -, « plus égaux que d’autres »… (certains sont « libres » – = code-source disponible! -, et d’autres… « non-libres »).

Sur le plan… justement, « strictement (pseudo-)philosophique »: est-ce vraiment le but, de se créer de nouvelles contraintes, en voulant idéologiquement « se dégager » systèmatiquement de contraintes existentes? Analyse qui n’engage que moi: c’est ne pas avoir compris ce qu’était précisément « le libre »…

Ne me faites-pas dire ce que je n’ai jamais dit: ma position sur le sujet n’interdit aucunement d’être parfaitement vigilant sur le choix des logiciels (en exemple: utiliser « GNUZilla IceCat » au lieu… « d’un certain nombre de ses concurrents », est déjà un bon départ) – on ne sait de toute manière pas ce qu’il y a « sous le capot », et on aurait certainement, dans un certain nombre de cas, de GROSSES SURPRISES (et de tout ordre…), à ce sujet! En particulier dans le cadre d’un ordinateur connecté à un réseau, public ou « privé »… -.

Si le résultat est non-pas de se « débarasser d’un boulet », mais d’en changer, où est l’intérêt, sur un plan strictement pratique? Puis-je être plus clair? Si! Ce serait avoir « une banane dans l’oreille », et… « Au pied! » (cf. à ce sujet cet article: « Coucou, c’est moâââ!… »).

D’où mon choix…  Après vraiment « de multiples expériences linuxiennes »…

En effet, l’équipe à la base de  GNU/Linux Pinguy OS a décidé de prendre, sans complexe, le meilleur selon elle, où qu’il soit, et… ne « propose » même pas, mais plutôt offre directement – installée dès le départ -, la palette d’outils & logiciels qu’elle considère comme la meilleure placée, à l’usage. Possibilité évidemment, de choisir d’autre logiciels,  au format deb (= Debian), ou de les installer – pour les « Cadors » -, via le « Terminal » (« tout le monde descends!… »), au cas où…

Une preuve de pragmatisme de la part de Pinguy OS, tout étant basé – comme en politique -, de toute manière, sur la CONFIANCE…

A ce sujet: je vous conseille FORTEMENT, comme précédemment exprimé, le navigateur  » GNUzilla « IceCat » – 3.6.10 –, ainsi que le gestionnaire de courrier Sylpheed – trouvable, en particulier, dans le « Gestionnaire de fichiers » – &  le logiciel de sauvegarde « EasyCopy&Backup » v. 0.3

Même plus besoin de faire le travail de choix des logiciels, préétabli et pertinent – sauf souhait ou besoin spécifique, comme ci-dessus-, pour la plupart des utilisateurs!

La seule chose à connaître? Savoir graver une image « iso » – attention: en tant qu’image…-, sur un CD/DVD, pour installer l’OS sur son PC (DVD pour Pinguy OS, la taille de son image « iso » étant de l’ordre de 1,3 Go, ayant un certain « contenu »…).

Cerise sur le gâteau? Comme la plupart de ses… « concurrents » GNU/Linux, Pinguy OS est gratuit.

Vous l’avez compris: cela correspond parfaitement à « ma philisophie » (si j’en ai une) = PRAG-MA-TISME!

Avant tout…

NOTA: pour ceux qui auraient largement dépassé « le stade de l’apprentissage », un OS GNU/Linux à connaître: Aptosid 2010-02 « Κῆρες ». Selon moi, « le TOP du TOP »

L’ouvrage « The Linux Command Line » (William E. Shotts, Jr), gratuit (sous forme Pdf), leurs est aussi destiné, afin d’être mieux à même de faire « de la ligne de code au km », autrement dit: le maximum de choses possibles via le Terminal (sans interface…).

Comme quoi, j’essaie d’éviter d’être… « sectaire » (hihi!)

Posted in: Informatique, Linux